Dressé en pony-boy par deux copines

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il y a 4 ans

Dressé en pony-boy par deux copines

On avait eu de la chance ! Tous les deux assis contre un box, nous laissâmes nos respirations se calmer, bercés par le tambourinement régulier de la pluie. Si je n’avais pas eu l’idée d’une course « le premier qui arrive à l’écurie à gagner », nous serions dehors, sur nos pauvres chevaux, trempés jusqu’aux os.

– Tu as perdu ! Triompha Camille le sourire aux lèvres.

Je soupirai.

– Cobalt était fatigué et il a un concours ce week-end, je n’allais pas le pousser à fond ?

– TU as quand même perdu.

– Oui.

– Donc tu as un gage !

Je haussai les sourcils et me tournai vers Camille. Ses longs cheveux blonds étaient accrochés vers l’arriéré en queue de cheval et son joli visage arbora un petit air espiègle que je lui connaissais bien. Il faut dire qu’avoir passé deux années ensemble à faire de l’équitation depuis la quatrième, on a fini par se connaître par cœur. Mais laissant là mes souvenirs avec ma meilleure amie, je m’inquiétais de ce revirement de situation.

– Hé ! Mais ce n’était pas prévu ça ! Tu triches !

Camille fit semblant de se fâcher et fronça des sourcils.

– Alors comme ça tu me traites de tricheuse, mauvais joueur ?

– Mais non, vas-y pour ton gage si ça te fait plaisir. Je la taquinais, ah les gamines de nos jours…

– Attends ! Je te rappelle que je fais cinq centimètres de plus que toi ! A ta place je ferais moins le fier !

– Nan, quatre ! Protestai-je.

– Bon, concéda-t-elle, quatre si tu veux.

Je m’étirai en me relevant. Autant en finir au plus vite, et puis ce sera marrant. De plus, avec ces trombes d’eau il n’y a pas grand-chose à faire en attendant l’arrivée des parents.

– Alors, que dois-je faire madame la gagnante ?

– Je ne sais pas…

– Quoi ?

– Mais non, rigola-t-elle, je plaisante. J’ai déjà ma petite idée en tête, ferme les yeux.

Je m’exécutais.

– Tu me donnes ta parole que tu ne les ouvres pas tant que je ne te l’ordonne pas ?

– Oui, parole !

Elle s’éloigna, s’activa et, quelques bruits de chutes plus tard, je l’entendis revenir.

– Mets-toi à quatre pattes Charles.

Le sol de l’écurie étant sec, j’obéis de bonne grâce.

– Tu me promets de te laisser faire et d’aller jusqu’au bout ?

– Euh… ça dépend, hasardais-je.

– Si c’est pour ton gage ? Insista-t-elle.

– Bon, d’accord, capitulai-je.

Quel imbécile je faisais ! Je ne compris le piégé que quelques secondes trop tard, c’est à dire lorsque je sentis le poids de la selle se poser sur mon dos. Je sais, j’aurais dû protester, me plaindre, m’énerver, crier, mais bizarrement, je ressentais plus une excitation me gagner et une chaleur envahir mon bas ventre.

Camille s’amusa à me passer les sangles et à bien les serrer. Je ressentis sais une gêne grandissante, surtout que je savais que l’une des sangles devait passer entre mes deux jambes, mais cela ne fit qu’augmenter mon érection, que le pantalon bleu clair moulant d’équitation mettait bien trop en valeur. Finissant comme par hasard par cette sangle, Camille nota avec amusement la bosse qui s’était formée et pris un malin plaisir en serrant avec force la dernière sangle. Je gémis.

– On dirait que tu aimes bien ça Charles ?

– Mais non, tentais-je de me disculper, ce n’est pas fait exprès.

Elle rit.

– Tu sais, on a eu les même cours de SVT, donc avoue que tu aimes ça être traité comme un cheval.

Je baissai la tête, aussi excité que mort de honte.

– Camille, j’aime bien être sellé comme un cheval…

Elle me caressa alors les cheveux gentiment. Puis prit un autre objet.

– Bon, ouvre la bouche.

Docile, sans émettre la moindre protestation, je la laissai m’installer les mors dans la bouche? Ceci étant fait, je les testai en tentant vainement de fermer ma bouche; mais la barre en métal m’en empêcha.

– Ah…ille !

Je n’arrivai même pas à prononcer le prénom de ma copine.

– Du calme mon cheval, du calme, dit-elle avec la même voix que lorsqu’elle s’adressait à sa jument.

Elle s’installa sur la selle et, tirant un coup sec sur la bride, me fit relever violemment la tête.

– Hue, petit cheval !

A quatre pattes, humiliées, j’avançais sous les directives de ma cavalière. J’étais plus heureux que jamais. Je bandais et j’aimais ça. Nous étions à notre deuxième aller-retour lorsque, horreur, je m’aperçus d’une présence ! Postée à l’entrée, Constance, une camarade de classe et de club d’équitation, nous filmait en souriant avec son iPhone?

Me soulageant de son poids, Camille descendit de la selle et, me tirant par la bride, s’approcha de Constance. Je n’osais regarder ma copine dans les yeux et restai à contempler ces bottes.

– Tu veux essayer cette monture ? T’en fais pas, il aime ça !

La jeune fille eu un sourire narquois.

– Oui, mais je trouve qu’il lui manque quelque chose…

Une note d’intérêt perça dans la voix de ma meilleure amie.

– Quoi donc ? Tu as une idée ?

– Il lui manque une queue à l’arrière entre ses fesses !

Je blêmis? Une idée me traversa l’esprit, me fit bander. Elle n’alla quand même pas…

Constance chuchota un instant avec Camille qui acquiesçât puis, une expression mauvaise au visage, s’approchèrent de moi.

– Non ! M’écriais-je en tentant de me relever.

Mais, hélas, sans trop d’effort, elles me maîtrisèrent et m’enlevèrent mon pantalon et mon boxer. Constance prit sa cravache et me cingla violemment mes fesses nues d’un geste expert. Les mors étouffèrent mon cri de fillette. Ça allait trop loin ! J’aurai voulu m’arrêter là, mais le mal était fait !

– Tiens-toi tranquille, m’ordonna ma dresseuse, ou je te mets le cul en sang avant d’envoyer la vidéo ?

Je me figeai.

Camille vient se mettre à mon niveau et me caressa la tête comme un chien.

– C’est bien Charles, tu apprends l’obéissance.

Elle resta gentille, même en m’humiliant et, bizarrement, je voulais la rendre fière de moi.

C’est sous la surveillance menaçante de Constance que, pour ma plus grande honte, mais aussi pour mon plus grand plaisir, ma meilleure amie m’écarta les fesses et introduisit une longue touffe de pailles dans mon anus, me faisant gémir de plaisir…ce qui la fit rire.

– Je ne te connaissais pas comme ça Charles. Heureusement que j’adooore les chevaux !

Constance lui tendis son iPhone.

– Je te laisse filmer, je m’en vais le dresser ce petit poney ! Elle éclata de rire, il va filer doux ensuite !

– Vas-y, l’encouragea Camille, te gêne surtout pas. Je te fais confiance.

Pour commencer, après s’être installée, Constance resserra à fond les mors, me faisant pleurer de douleur.

– Ça t’apprendra à prendre tes pieds pendant que l’on te dresse petit poney !

Mettant toute sa force dans chacun de ses coups, Constance me cravacha pour me faire avancer tout en m’insultant d’être à ma place. Camille filmai la scène en se touchant machinalement l’entrejambe et semblait apprécier la situation. Moi, j’étais devenu leur cheval et j’en étais fier.

En cours, Camille et Constance ne semblaient pas se souvenir de ce qui s’était passé la veille à l’équitation. Elles ne voulaient peut-être pas trop en parler… J’étais encore sous le choc de ce qui s’était passé. Pas parce que ce qu’elles m’avaient fait subir était humiliant, mais parce que j’avais aimé ça ! Adoré même ! Rentré à la maison, j’avais dû être discret pour mettre rapidement mon pantalon d’équitation dans la machine à laver… comment aurais-je pu expliquer les tâches que j’avais faites sur l’entrejambe ?

Ce midi, je mangeai avec Camille et deux autres amies, Lisa et Anaïs. Et même lorsque nous eûmes des moments où nous étions que tous les deux, elle ne me rappela pas que j’avais été son cheval… à ma grande déception.

La sonnerie annonçant la reprise et le cours de sport me surprit à l’autre bout de la cour et, le temps de récupérer mon sac dans les casiers, je me retrouvais à traverser la cours seul pour rejoindre les vestiaires.

– En retard Charles ?

Je me retournai et me décrispai en découvrant qui m’avait interpellé : Constance. Adossé au muret du petit parc de la cour, à l’entrée des salles de sports, elle avait son portable dans la main.

– Tu ne devrais pas déjà y être toi ?

– Oui, mais… je t’attendais.

Je déglutis et quelque chose commença à s’agiter dans mon pantalon.

– En fait, continua-t-elle, je voulais regarder la vidéo d’hier avec toi, mais je me suis rendu compte que je l’avais déjà mise sur l’ordinateur.

– Ah… euh.. C’est dommage, je me mis à rougir, j’aimerais bien la voir.

Elle sourit et saisit la perche que je lui tendais :

– Si tu veux, je te promets de te la montrer si on en fait une autre !

Ma queue se redressa, tout rouge, comme moi qui avais l’impression que mon visage me brûlait tant j’étais partagée entre excitation et peur, car je savais que je ne pouvais plus reculer.

– Je veux bien, mais comment ça « une autre » ?

– Bah une vidéo de toi ! déclara-t-elle en agitant son iPhone devant moi.

– Tu veux que je fasse le poney ici ? m’écriai-je paniqué.

– Non, bien sûr que non. Je ne suis pas cruelle, je veux juste une vidéo où tu me nettoies les chaussures !

C’était déjà plus raisonnable. Et surtout…. Ça me plaisait. Ça me plaisait énormément. Surtout si j’allais devoir…

– Je dois les nettoyer comment ? lui demandais-je en me mettant à genoux alors qu’elle se mit à filmer. Comme ça ou avec… la langue ?

– Je ne sais pas, dit-elle innocemment, qu’est-ce que tu préfères toi ?

Elle le savait bien ce que je préférais, il suffisait que je le dise pour pouvoir réaliser ce fantasme, pour lécher ces bottes noires, pour me soumettre à Constance.

Je ne pus m’empêcher de baisser les yeux devant le regard carnassier de ma cavalière.

– J’aimerais devoir te les nettoyer avec la langue, maîtresse Constance.

Elle éclata de rire.

– Et bien lèche ma sous-merde ! Lèche avant que notre classe ne sorte des vestiaires !

A quatre pattes, je me mis à lécher avec application ces bottes noires. Elle releva ces jambes l’une après l’autre pour que je puisse atteindre ces semelles. Le goût était dégoûtant, mais pas intenable. Je commençais même à m’y habituer

– Je savais que tu étais un soumis, se moquait Constance, tu aimes vraiment ça en plus ! Tu sais, j’ai toujours voulu avoir un esclave qui porte mes affaires, me lèche les pieds, se prosterne devant moi… et tu sais quoi ? Je crois que tu es parfait pour ça !

Après mon humiliante descente dans la soumission, le cours de sport, de même que le reste de la journée, se déroula dans une sorte de brouillard. J’étais encore sous le contrecoup du plaisir que j’avais ressenti et que je ressentais chaque fois que je me rappelai de ce que j’avais fait. Je notais à peine le regard étrange que me porta ma meilleure amie en nous séparant pour le weekend.

Alors que Camille s’éloignai, je ne pensais plus qu’à ma maîtresse, Constance.

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